
Le corbeau sur le faîte de l’arbre
Dévisageait le monde
A peine perturbé
Par le temps contrarié
De l’automne
Et moi je l’observais
D’en bas
Devant mon café noir
Rêvant pour quelques secondes
D’échanger nos places

Le corbeau sur le faîte de l’arbre
Dévisageait le monde
A peine perturbé
Par le temps contrarié
De l’automne
Et moi je l’observais
D’en bas
Devant mon café noir
Rêvant pour quelques secondes
D’échanger nos places